C.L.I.C. “SÉNIOR MONTAGNE”

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VOUS AVEZ PLUS DE 60 ANS LE C.L.I.C. VOUS CONCERNE

 

Centre Local d’Information et de Coordination Gérontologique
A QUOI SERT LE C.L.I.C.

VOUS INFORMER

Des aides et des services existants en fonction de l’endroit où vous habitez.

VOUS ORIENTER

Sur les service concernés

VOUS AIDER

Pour trouver la solution la mieux adaptée à votre situation et à vos démarches.

VOUS CONNAITRE

Pour recenser les difficultés que vous rencontrez.

Pour évaluer et analyser vos besoins afin de mieux y répondre

Le CLIC (Centre Local d’Information et de Coordination Gérontologique) est une association loi 1901 financée par le Conseil Général du Puy de Dôme et la CARSAT (ex CRAM). Le CLIC est composé d’une équipe pluridisciplinaire (secrétaire, assistante sociale, infirmière,…).

Le rôle du CLIC est d’écouter, d’informer, d’orienter et d’accompagner les personnes âgées de plus de 60 ans et leur famille dans leurs différentes démarches (aides à domicile, aménagement du logement, entrée en établissement …).
Le CLIC participe depuis janvier 2010 à une expérimentation visant à apporter un accompagnement renforcé aux personnes atteintes de troubles cognitifs. Il s’agit du dispositif MAIA (Maison pour l’Autonomie et l’Intégration des malades d’Alzheimer et pathologies apparentées).
Le CLIC propose également des consultations mémoire avec un médecin gériatre pour toutes les personnes soucieuses de leur mémoire et désirant faire un bilan global de leur état de santé et de leur autonomie.

Le CLIC constitue aussi un lieu ressource pour les professionnels.

Vous pouvez être accueillis dans les bureaux du CLIC ou téléphoner du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 14h à 17h.

Un professionnel du CLIC peut également se rendre à domicile pour faire le point sur votre situation.

Le CLIC travaille en partenariat avec l’ensemble des professionnels médicaux, paramédicaux et sociaux, ainsi qu’avec les structures présentes sur son territoire.
Le CLIC est présent sur 4 communautés de communes :
– Sioulet – Chavanon,
– Sancy Artense,
– Rochefort Montagne,
– et une partie du Massif du Sancy (à savoir : Le Mont – Dore, La Bourboule, Murat – Le – Quaire, Chastreix et Picherande).

Le CLIC a pour mission la mise en place d’actions de prévention du vieillissement, de soutien aux aidants et d’information pour les professionnels intervenant auprès de personnes âgées. A ce titre, il organise des conférences, des groupes de paroles et autres manifestations.

Contact

tel 0473652089

email: clic.senior-montagne@wanadoo.fr

site internet : www.clicmontdore.fr

La jonquille

LA JONQUILLE

logo-la-jonquille
L’association “LA JONQUILLE” est un groupement de producteurs fermiers locaux qui produisent et transforment la matière première issue directement de leur exploitation

  • leur savoir-faire assure ainsi, des produits de qualité sains et variés.

les producteurs seront heureux de vous accueillir dans leur nouveau point de vente collectif, situé à:

  • Laqueuille-gare (D82 direction St Sauves d’Auvergne)
    63820 St-Julien-Puy-Lavèze

vous y trouverez: Charcuteries, foie gras, fromages, vins d’Auvergne, jus de pomme, plantes médicinales,miels, confitures, pain d’épices, escargots……

  • situation géographique
    GPS: lat 45.648526/long 2.707098
    GEO: lat 45°38’54”/long 2°42’25”

Jours d’ouverture:

  • Point de vente collectif ouvert les vendredis, samedis, dimanches et jours fériés de 10 h à 19 h
  • entre le 14 juillet et le 15 aout ouverture les jeudi, vendredi, samedi, dimanche de 10 h à 19 h
    Numéro de téléphone hors jours d’ouverture : 04 73 72 26 62.vendredi,

Le siège social de l’association est basé à les bondes – 63500 Aulhat St-Privat

Contacts
président de l’association
Jean-Valère RANDANNE 0630340409
pour vos buffets et paniers garnis, contactez:
Didier ARCHIMBAUD 0473715124

www.la-jonquille.fr

http://www.la-jonquille.fr/lieux-de-vente/

E.mail :la_jonquille@hotmail.com

L’ÉQUIPE MUNICIPALE

LE CONSEIL MUNICIPAL

 

 

Yves CLAMADIEU, Maire

Guy MONTEIX,  1er adjoint

Lucette DELZOR, 2ème adjoint

Béatrice BAUDONNAT, 3ème adjointe

Michelle GUITTARD

Isabelle SOUCHAL

Roselyne BASCOULERGUE

David DUCHAINE

Claude SAUVAGE

Sandrine BICHARD

Jean-Marc OUVRARD

 

 

COMMISIONS MUNICIPALES

 

COMMISSION D’APPEL D’OFFRES

Président:

M. CLAMADIEU Yves : Président

Membres titulaires :

M. MONTEIX Guy – M. OUVRARD Jean-Marc – Mme GUITTARD Michelle

Membres suppléants :

Mme DELZOR Lucette  – Mme BICHARD Sandrine – M DUCHAINE David

 

COMMISSION ECOLE

M. CLAMADIEU Yves – Mme BICHARD Sandrine – M. SAUVAGE Claude

 

COMMISSION CULTURE, ASSOCIATIONS ET INTERNET

Mme DELZOR Lucette – M. SAUVAGE Claude – M. OUVRARD Jean-Marc – Mme SOUCHAL Isabelle

 

COMMISSION AGRICULTURE, BOIS ET FORET

M. CLAMADIEU Yves – M. MONTEIX Guy – Mme BASCOULERGUE Roselyne -M. DUCHAINE David

 

COMMISSION AIDE AUX PERSONNES

Mme DELZOR Lucette – Mme BAUDONNAT Béatrice – Mme SOUCHAL Isabelle – Mme BICHARD Sandrine

 

COMMISSION TRAVAUX, LOGEMENT, SNCF

M. CLAMADIEU Yves – M. MONTEIX Guy – Mme BICHARD Sandrine – M. DUCHAINE David

 

COMMISSION ENVIRONNEMENT, DEVELOPPEMENT DURABLE, URBANISME, ASSAINISSEMENT

M. CLAMADIEU Yves – M. MONTEIX Guy – Mme BAUDONNAT Béatrice – Mme BASCOULERGUE Roselyne – M. OUVRARD Jean-Marc – M. SAUVAGE Claude

 

 

DELEGATIONS

 

DELEGUES DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D’ENERGIE DE ROCHEFORT-MONTAGNE

Délégué Titulaire : M. OUVRARD Jean-Marc

Délégué Suppléant : M. SAUVAGE Claude

 

DELEGUES DU SYNDICAT INTERCOMMUNAL D’ALIMENTATION EN EAU POTABLE ” CLIDANE CHAVANON “

Délégués titulaires :
M. MONTEIX Guy – M. DUCHAINE David

Délégué suppléant :
M. OUVRARD Jean-Marc

 

DELEGUES DU SYNDICAT MIXTE DE COLLECTE ET DE TRAITEMENT DES ORDURES MENAGERES DE LA HAUTE-DORDOGNE – SMCTOM 

Délégués Titulaires : M CLAMADIEU Yves – Mme BASCOULERGUE Roselyne

Délégués Suppléants : Mme SOUCHAL Isabelle – Mme BICHARD Sandrine

 

DELEGUES A L’ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER SMAF AUVERGNE 

Délégué Titulaire : M CLAMADIEU Yves

Délégué Suppléant : M SAUVAGE Claude

 

DELEGUES A L’ASSOCIATION DES COMMUNES FORESTIERES

Délégué Titulaire : M. OUVRARD Jean-Marc

Délégué Suppléant : M. MONTEIX Guy

 

DELEGUES AU CLIC

Délégué Titulaire : Mme BAUDONNAT Béatrice

Délégué Suppléant : Mme GUITTARD Michelle

 

 

DELEGUES AUX COMMISSIONS INTERCOMMUNALES

COMMUNAUTE DE COMMUNES DOMES SANCY ARTENSE 

 

ECONOMIE DONT AGRICULTURE/FORET

M. CLAMADIEU Yves – M. MONTEIX Guy

 

TOURISME

Mme SOUCHAL Isabelle

 

AMENAGEMENT URBANISME HABITAT ENVIRONNEMENT 

M. OUVRARD Jean-Marc – M. CLAMADIEU Yves

 

ACTION SOCIALE ET SANTE

Mme BAUDONNAT Béatrice – Mme GUITTARD Michelle

 

ENFANCE JEUNESSE

M; CLAMADIEU Yves – Mme BICHARD Sandrine

 

CULTURE ET VIE ASSOCIATIVE

M. SAUVAGE Claude – Mme DELZOR Lucette

 

SPORTS

M OUVRARD Jean-Marc – M CLAMADIEU Yves

Moto-club

LE MOTO CLUB

Le moto club de Saint Julien Puy Lavèze est situé en Auvergne, dans la commune qui lui a donné son nom. Il bénéficie d’une situation géographique privilégiée, sur l’axe Clermont Ferrant-Bordeaux, à une quarantaine de km de Clermont-Ferrand et il doit être un des rares clubs à bénéficier d’une sortie d’autoroute, à moins de 3 kilomètres de St Julien Puy Lavèze ! Voir la carte

Le moto club est affilié à la FFM (N°1940)

Notre motivation

  Le tout terrain est notre activité, au travers de l’enduro et du cross, en loisir ou compétition. Le plaisir et la convivialité, le respect de la nature et ses autres usagers font partie des valeurs animant les quelques 50 membres du club.

Le siège

moto club de Saint Julien Puy Lavèze

mairie le bourg

63820 Saint Julien Puy Lavèze

Nous contacter ( prise en compte rapide de votre demande assurée !)

mcsaintjulien@wanadoo.fr

Jean-Philippe CHAUBIRON : 06 03 97 72 19

Le bureau

Il s’est rajeuni lors des élections de début 2013. Du sang neuf pour compenser les fragilités…des aînés !

Co- présidents :

Frédéric PLANEIX :

-* Frédéric se balade en France mais n’hésite pas à sortir le kit de navigation pour rouler dans le sable. Une suédo-autrichienne dans le sud, on aura tout vu !

Dominique VEDRINNE alias « Grando » :

-* Adepte du pilotage viril, dans le plus pur style « bucheronnesque », il manie avec autant de dextérité le John Deere que des engins de TT …plus légers. Son « tendon d’Achille »…est la rotule.Ohh !

Secrétaire :

Jean-Philippe CHAUBIRON

-* Lecteur assidu de la presse verte française ou exotique depuis presque l’enfance, son cœur balance entre le 2 roues avec moteur (vieilles et modernes) et sans moteur.

Trésorier :

David GANHITO

-* Course à pieds, enduro et famille occupe ses activités. Les comptes aussi puisqu’il vient de prendre la fonction.

Trésorier adjoint :

Bernard BOUTY

-* La nostalgie le touche aussi puisque son garage accueille du matériel du Lexème et et XXIème siècle, européen et nippon. La mondialisation … Sa restauration de maison lui a fait délaisser les réjouissances des lignes de comptes et les relevés bancaires.

Les membres :

Patrice BOUTY

-* Président fondateur, il est victime d’une schizophrénie, entre ses machines de TT modernes et les vieilles routières françaises rutilantes. Son garage tendrait à devenir une concession pour vieilles routières françaises. Terrot for ever.

Charlotte BELLAIGUE

-* Une touche de féminité arrive. Ses études médicales seront d’un grand secours pour soigner les douleurs lombaires des membres du bureau moins jeunes (pas âgés, moins jeunes !)

Gilles BELLAIGUE

-* Vous lui devez le respect puisqu’il est un très estimable élu de la République !Il roule en particulier dans « les classiques », sa forme s’améliorant au fil des jours.L’écharpe bleu-blanc-rouge reste au vestiaire.

Sylvain ESPINASSE

  •   Il pilote avec autant de précision le 125 que le 4 temps, toujours d’un millésime récent. Mais les anciennes bénéficient aussi de son attention…très très soutenue. Une sorte de concession multi marques. Il a assouvi son rêve de Dakar en 2012 en intégrant le team Sherco et a terminé l’épreuve qui fut ainsi son premier rallye. Il est reparti en 2014, en catégorie « malle moto » c’est à dire sans assistance. Ce challenge sportif a aussi pris une dimension humanitaire puisqu’il a monté une opération avec le Secours Populaire afin de créer une cantine scolaire dans une école de Madagascar. Cette seconde participation s’est concrétisée par un succès. Un journaliste de France 2 a dit « Sylvain Espinasse, c’est Mick JAGGER »  en référence au succès rencontré par Sylvain au Chili.

  • Lionel MALLHOT   -* VTT-iste et enduriste aguerri, il oriente une de ses filles vers l’enduro. La relève.

  • Sébastien VAZEILLE

-* Valeureux pilote en « Classiques », il partage actuellement son temps entre la construction de sa maison et l’enduro.

Un peu d’histoire  Il était une fois…en 1989 C’était en des temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître…. Réunis par la même passion pour les 2 roues et du tout-terrain, une bande de copains, certains se connaissant depuis l’enfance décide de se réunir et crée ainsi le moto club de Saint Julien Puy Lavèze. Attentive à ce projet, la municipalité leur accorde son soutien (indéfectible, d’ailleurs) et leur confie un terrain à proximité du village.

Les premiers émois un jour d’été…  Ce terrain est le lieu de plusieurs démonstrations, réunissant des machines hétéroclites, des vieilles. des récentes, des belles, des plus    érodées…. Des animations agrémentent les entractes (vélo, ânes … !!!). Les habitants répondent présent. C’est un rendez-vous annuel

Le virus de la course  En manque de chemins, le club se lance dans l’enduro en 2010 et 2011 avec le Family enduro, des manches du championnat de France d’enduro à l’ancienne. 400 pilotes, 1000 repas !

Ils se forment… Conscient de la très grande marge de progression , les membres du MC Saint Julien organisent en 2003 et 2004 2 stages de  pilotage enduro, avec Laurent MALOSSE. Petit « poireau » deviendra grand ! PETERHANSEL a tremblé sur ses podiums. Un nouveau stage, mixant techniques du trial et de l’enduro se déroulera en avril 2013 avec les bons conseils de Vincent Charbonnier et de Benjamin Camus.

Ils courent… Des adhérents usent leurs crampons en enduro, endurance, cross country, enduro sprint, (Vincent Charbonnier par exemple)dans des épreuves extrêmes (Romain GIOFFRE) dans les classiques, en championnat de France de trial (Benjamin CAMUS, Xavier GROSMOND etc)

Ils se baladent… En Auvergne bien sur, en Lozère, en Corse, au Pays basque, en Espagne.

Ils s’impliquent… En encadrant des manifestations locales, collaborant avec des clubs locaux et associations de la commune.

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UN PEU D’HISTOIRE

Tout d’abord, un grand merci à Madame Odile TALON et Monsieur Roger GUITARD pour leurs recherches, à l’élaboration de cet historique.

  • Nous sommes preneurs de toutes informations documentées pour compléter cet espace, photos, articles…etc.

Notre commune est située en Auvergne au nord ouest des monts dore à 983 m d’altitude, dans le département du Puy de Dôme. Arrondissement de Riom et canton de Bourg-Lastic limitrophe des communes de Briffons, Laqueuille, st Sauves, St Sulpice, communauté de commune de Sancy-Artense Paroisse de Sainte Bernadette des Dore.

Historique :

La commune est issue de la réunion de St Julien et de Puy Lavèze

St- Julien

Plusieurs saints du nom de Julien existent dans les premiers siècles,

St Julien de Brioude (Haute Loire). Soldat romain, chrétien venu du Dauphiné en Auvergne, il est mort en martyr décapité en 304 sous Dioclétien. Enterré à Brioude et vénéré en Gaule.(La statuaire le représente, de façon traditionnelle, en soldat romain tenant d’une main la palme du martyre et de l’autre l’instrument du supplice, le glaive.)

 

 

Commune signalée dès 1282 : « Sanctus Julianus » puis paroisse St Julien de Feix jusqu’à la révolution. Son église en partie romane, construite en …description Dépendait du chapitre cathédral de Clermont Ferrand qui nommait les curés. Elle dépendait de la commanderie des Chevaliers de st Jean de Jérusalem de Tortebesse (canton d’ Herment )

Wautier sire de Villemontée en 1189, pour partir en terre sainte (3ème croisades) avait vendu sa seigneurie de Tortebesse aux chevaliers de st Jean de Jérusalem qui en firent une commanderie qualifiée « Hôpital » (1239- 1246) Celle-ci avait de nombreuses dépendances dont Lastic et St Julien Puy Lavèze

Puy Lavèze

Fief signalé « Podium Alavèze » (1315) puis « Puy La Vèze » (1510).

Ce village dépendait de la seigneurie de Préchonnet, (Bourg Lastic)

Elle comprenait les châteaux de Préchonnet, Chalusset et garde Ferradure. Tous disparus.

En 1180 Robert Dauphin d’Auvergne( 1150, 1234), (voir les ascendants jusqu’en 790 Claude d’Auvergne ) comte de Clermont et Mont Ferrand, seigneur de Montrojuon, cède sa seigneurie de Préchonnet au seigneur de la Queuille.

Jean de Rochefort d’ Aurières seigneur d’Aurières, de Préchonnet et d’Eygurande, chevalier. marié à Jeanne de Montaigut. eurent pour descendance Louise de Rochefort d’ Aurières née en 1420

Blain V Le Loup né vers 1420 mort ? se mari en 1437 avec [Louise de Rochefort d ’Aurières) ainsi la seigneurie passe chez les Le Loup.

Jacques II le Loup né vers 1440 mort ?

Jacques III Le Loup seigneur de Préchonnet (Bourg-Lastic),chevalier né vers 1470 mort avant 1523

Blain Le Loup seigneur de Montfan, co-seigneur de Préchonnet,chevalier Né vers 1515

Gaspard Le Loup né en 1570 mort vers 1635. grand ligueur plusieurs faits lui sont attribués notamment celui d’avoir complètement détruit le château d’Herment en 1592, en le livrant aux flammes (histoire de la ville, pays et baronnie d’ Herment en Auvergne. Ambroise TARDIEU 1886 page 9)

Anne Le Loup, sa descendante, « dame de Préchonnet » épousa Gilbert-Alyre de Langeac en 1608 seigneur de Dallet (veuve en 1620 elle crée le couvent de la Visitation à Montferrand. Ainsi en 1608, la seigneurie passe chez les Langeac, seigneur de Dallet, jusqu’en 1789 M. de Langeac un descendant, était ainsi seigneur de Préchonnet et seigneur de Puy-Lavèze.

 

La guerre de Cent Ans contre les Anglais sévit dans la région Autre précision en 1390, une armée royale chasse les « Routiers » des montagnes auvergnates

Lors des guerres de religion, le seigneur de Préchonnet fut un ardent Ligueur contre Henri IV. Il arrache Herment aux royalistes, attaque Ussel, mais en 1590, la bataille de Cros-Rolland mit fin aux espoirs de la ligue en Auvergne

La réunion de St Julien et de Puy Lavèze fut réalisée en 1791.

Elle est évoquée sur son blason.

Les trois couleurs de la république bleu blanc rouge, unissant l’histoire de Puy Lavèze. le loup est repris sur les armes de la famille Le Loup, et de St Julien, représenté par le faucon qui est l’attribut de St Julien, patron de la commune.

Ces deux emblèmes séparés par un cour d’eau représentant la source Sainte Radegonde (à ce propos nous recherchons des témoignages sur des anciennes processions ou autres dévotions à cette source.)

 

 

 

18ème Siècle – D’importants défrichements furent faits vers les hameaux de Feix et de Pierrefitte. -* – route Clermont bordeaux depuis 1748, l’idée d’une route Clermont – Bordeaux, passant à Bourg–Lastic (et St Julien) était à l’étude.

L’intendant Trudaire en 1754, le marquis de Langeac en 1770 et d’autres s’en occupèrent, mais elle n’était pas achevée à la révolution http://cartocassini.free.fr/carteca… la route apparait sur les cartes jusqu’à Bourg Lastic (jusqu’aux gorges du Chavanoux)

En 1771 et 1772 une terrible disette amène une mendicité générale.

En 1782 l’église était dans un état déplorable, lors de sa visite l’évêque en fait un tableau lamentable.” Le vase de baptismale est fort vieux. Les vases des saintes huiles sont aussi fort vieux, fort crasseux… L’enveloppe des reliques est pourrie dans le reliquaire… Les statues des autels sont si noires et si sales qu’elles doivent être repeintes… La chaire tombe de vétusté, le chœur et la nef ont besoin d’être pavés, les ornements sacerdotaux sont en très mauvais états, le cimetière a trois issues et sert de passage, il n’y a pas de sacristie…” le curé était alors nommé par le chapitre cathédral.. on comptait 400 communiants. “mais les habitants des villages éloignés ne viennent pas”.

 

19ème siècle – au début du siècle la population du canton s’oppose aux autorités et au service militaire obligatoire. De nombreux réfractaires furent recherchés par les gendarmes.

En 1846 = 842 habitants

A la fin du siècle, le pays se transforme. Tout le sol utilisable est en prairie pour l’élevage de bovins (laitières) et la production de fromage local (Bleu de Laqueuille) mais le tourisme ne s’étend pas au-delà du Mont-Dore-Sancy. le canton de Bourg-Lastic apparait déjà sur les cartes.

La zone reste rurale. Peu d’industries. Artisanat

L’émigration de temporaire devient définitive avec perte de 200 habitants en 65 ans.

20ème siècle 

1900:  le 3 juin notre commune s’associe aux commémorations du centenaire de la mort du général DESAIX

http://www.clermont-ferrand.fr/Un-h…

1911 : 642 habitants. La population se disperse entre plusieurs hameaux : Feix, Puy Lavèze, Bajouve, la Vezolle , la Loubière, et le principal la gare dite de Laqueuille.

Guerre de 14 – 18

La commune de St julien à été durement touché durant cette tragique période “Ils furent 32 à partir en chantant, la fleur au fusil mais non n’ont jamais revu le clocher de leur village”

“Les frères FAURE – une famille très éprouvée

Août 1914 : à la déclaration de guerre quatre frères FAURE du bourg de St Julien – Pardoux, Joseph, Michel et Mathieu étaient mobilisés. l’année 1916 devait être fatale à trois d’entre eux ce fut d’abord Mathieu, le Père d’Ernest, qui habitait à Chanonet qui tombait au champ d’honneur le 24 février 1916 ( inscrit au monument aux morts de briffons). 15 jours plus tard, le 10 mars 1916 son frère Pardoux subissait le même sort. le 15 décembre 1916 joseph à son tour, tombait, victime du devoir. Michel le 4ème frère rescapé, revint grièvement blessé et amputé d’un bras mais le destin cruel ne devait pas s’arrêter là. une nouvelle tragédie s’abattait sur cette famille car jean le fils de Michel, qui effectuait son service militaire au Maroc, fut tué le 24 juin 1923 à l’âge de 20 ans. “

FAURE Joseph caporal au 321ème régiment d’infanterie reçût un hommage de la nation signé du président de la république Raymond POINCARÉ

Afin de rendre hommage aux soldats qui avaient fait le sacrifice de leur vie pendant la guerre de 14-18 le maire M CHASSAGNE propose de former une commission chargée du monument aux morts pour la France cette commission est composée de Ms TARTRY, BASCOULERGUE et BATTUT François. dans la séance du 18 septembre 1921, le maire soumet au conseil municipal les plans et devis du monument à élever sur la place publique du village. le conseil à l’unanimité approuve les plans et devis et autorise le maire à passer le marché avec Ms GENIN Frères entrepreneurs à Courpière au prix de 6.300 frs et dit que cette somme sera payée 3.300 frs montant de la souscription publique, 3.000 frs par le budget de la commune dans la séance du 21 mai 1922 le maire donne lecture d’une lettre de M le secrétaire d’état à la liquidation des stocks qui attribue à la commune 4 obus de 280 devant servir à embellir le monument le conseil décide de faire l’inauguration du monument élevé le dimanche 18 juin 1922 le maire invite à cette inauguration et banquet qui suivra, M le Préfet, Ms HUGUET, TIXIER et VARRENNE députés, le conseiller général, le conseiller d’arrondissement et tous les maires du canton, le conseiller d’arrondissement .

Guerre de 39- 45

La région Auvergne à connu son lot de drames durant la deuxième guerre mondiale, la commune de St Julien Puy Lavèze n’est pas en reste.

L’épisode du 17 août 1944 reste dans les mémoires.

Récit parut dans le bulletin municipal d’avril 1994 marquant le 50ème anniversaire de la libération de notre région

“Souvenir du combat du pont du fraisse le 17août 1944. suite M.PINSON C’est en septembre 1943 que le docteur Willy MABRUT dit “Tonton”, résistant de la première heure et responsable du M.U.R (Mouvement unis de la résistance),prévenu par HUGUET(Prince) que la milice est au courant de ses activités suspectes, doit se réfugier à la gare de Laqueuille. beaucoup de nos habitants doivent se rappeler, certainement de jeunes gens sans uniforme, qu’ils abritaient dans leurs granges au petit village de “la Vezolle” s’exposant ainsi aux risques très dangereux de représailles par la “Gestapo”. Représailles sanglantes bien connues dans la région de Bourg-Lastic Messeix. hélas ! c’est le 17 août 1944, 10 jours seulement avant la libération de Clermont-Ferrand que le sang devait couler sur la terre de notre commune et que 7 jeunes maquisards, épris de justice tombaient au pont du fraisse pour nos libertés. Pour évoquer ce tragique épisode de la lutte sans merci menée par les patriotes, contre un ennemi implacable, nous laisserons la parole à un ancien combattant ayant participé au combat. suite M. GUILLARD Depuis des mois nous tenons le maquis. Le “Tonton” ardent patriote est notre chef. en ce mois d’août 1944 nous nous retrouvons dans un petit village de la commune de Tauves. Le 15 août arrive. et chacun de nous pense déjà à la libération qui approche. Le lendemain dans la journée, un ordre nous parvient. faire mouvement en direction de la RN89 en vue d’y établir une embuscade, un fort convoi ennemi étant signalé, vingt cinq kilomètres nous en séparent. Nous partons à pieds avec armes et barda, empruntant monts et vallées. La nuit est déjà bien avancée lorsque nous arrivons à destination, exténués par la longue marche. une vielle grange qui se trouve sur le bord de la nationale nous sert de refuge pour le reste de la nuit. Nous nous y entassons pour nous reposer un peu, mais aussi quelle inconscience de nous trouver si près de la route. Nous avons à peine fermé l’œil que déjà l’aube pointe. Nous nous réveillons encore fatigués notre sommeil a été court. La section comprend seulement vingt trois hommes, quelques autres sont en mission ; notre chef nous fait prendre position. deux groupes dans les bois de sapins qui surplombe la route, le troisième groupe en contrebas de la nationale. Nous avons le ventre creux, nous nous hasardons quelques uns à la ferme à coté pour acheter un peu de nourriture. Le brave paysan qui lui aussi s’est levé tôt est surpris de nous voir à cette heure si matinale. Nous lui en expliquons la raison, conscient du danger que nous lui venons d’apprendre, il réveille sa famille. Peu après nous le voyons partir en direction des champs avec ses enfants, s’éloignant de la zone dangereuse. Avec quelques outils empruntés à la ferme, certains de nous commencent à creuser leur trou pour être mieux protégés, car une dizaine de mètres seulement nous sépare de la nationale que va peut être emprunter l’ennemi. je repère un sapin assez gros pour bien me protéger. Derrière mon copain Marion fait de même et repère lui aussi le sien. La section dispose de trois FM la plupart d’entre nous a mitraillette, mousqueton, grenades et bombes Gammont. Devant nous les frères MANARANCHE ont bien camouflé leur F ;M dans la bruyère surplombant et prenant la route en enfilade. Un peu plus loin se trouve “Tito” qui se prépare lui aussi à un feu croisé. en contre bas de la route c’est aussi “Sicki” avec son F.M qui doit ouvrir le feu. Combien de nuits avons nous passé à entendre un ennemi qui souvent avait pris d’autres routes et le matin Nous rentrions au camp exténués et déçus. l’attente se prolonge, notre chef de section demande un volontaire pour ce placer en éclaireur au devant de l’embuscade . Nous nous présentons Spako et moi comme volontaire, notre chef hésite sur le choix qu’il doit faire, finalement c’est Spako qui est désigné. Il sera tué à son poste de combat. Dix heures arrivent. cela fait maintenant cinq longues heures que nous attendons et déjà nous pensons que l’ennemi aura passé ailleurs. Encore une dizaine de minute s’écoulent. Soudain un bruit de moteur qui s’amplifie et un mot sur toutes les lèvres ” enfin les voilà”. Nous avons le cœur serré et le doigt sur la détente de notre arme, prêts à faire feu. Nous avons reçu l’ordre d’attaquer les dix derniers camions du convoi, mais comme nous n’en connaissons pas l’importance seul le hasard nous guidera. En tête de la colonne débouchent deux chars d’assaut, les occupants debout dans leur tourelle, leur regard tourné vers la forêt, ne se doutant pas qu’à quelques mètres d’eux, des hommes sont prêt à faire feu.Puis c’est le défilé incessant des camions chargés de troupes, recouverts de branchage pour se protéger de l’aviation alliée. je compte chaque camion qui passe. j’arrive au compte de soixante cinq. puis plus rien, un temps mort, nous nous regardons surpris. Aurions nous laissé passer l’ennemi sans intervenir. Quelques instants se passent qui nous semble longs, puis, de nouveau un bruit qui se rapproche. C’est le moment ou jamais d’attaquer. Nous entendons un ordre bref, puis aussitôt une longue rafale de F.M qui rompt le silence. Le combat est engagé. La première voiture qui se présente, de tourisme, est criblée de balles et prend feu. les occupants que nous supposons être des officiers sont carbonisés dans la voiture en feu. La voiture achève de bruler au milieu de la route, derrière, les camions se frayent un passage pour l’éviter, mais le combat ne fait que commencer. Nous crachons le feu de toutes nos armes sur les camions bourrés d’allemands qui continuent à traverser la ligne de feu sans pouvoir réagir. Une bombe Gammont bien lancée, tombe sur un camion qui saute. les occupants sautent à terre et essayent de s’abriter en contre bas de la route mais ils n’en n’ont pas le temps et sont abattus. Un motocycliste essaye de traverser la ligne de feu. Il est tué ainsi que le passager après le pont. Des camions, il en arrive toujours. Nous continuons à les arroser copieusement au passage. Nous entendons malgré la mitraille les cris gutturaux des Allemands. Nous tirions à bout portant et chaque balle faisaient mouche et sans pouvoir les estimer, les pertes devaient être sérieuses. Nous ne saurons pas non plus, pourquoi l’ennemi malgré sa force considérable (1) ne s’est pas aventuré dans la forêt ou il était facile de nous encercler. Le groupe de maquisards qui se trouve en contre-bas de la route, bien moins protégé, a plusieurs tués. Les survivants du groupe tentent un replis dans les champs de bruyère. mais sont encerclés et les blessés faits prisonniers sont achevés. Un seul blessé en réchappera. Mais le combat n’est pas terminé. Les allemands qui sont munis de canons et mortiers, arrivés au sommet de la côte, en direction de Bourg-Lastic ont mis leurs pièces en batterie. Ils tirent derrière nous. Le tir se rapproche. Pas loin de nous un sapin est déchiqueté par un obus et d’autres tombent un peu partout. mais sans véritable précision heureusement pour nous. peut-être que leurs propres troupes en font les frais, qui sait, nous sommes si près les uns des autres . Un avion Allemand que nous appelons le ” coucou” passe au dessus de nos têtes, rasant les arbres, lorsque nous tirons dessus l’avion est déjà loin . Puis c’est le décrochage, bien protégés par la forêt nous atteignons une clairière. Pas un homme ne manque et pas de blessés. Nous entendons le groupe du bas qui se bat encore, puis au bout d’un moment la fusillade cesse. c’est à nouveau le silence. Après avoir parcouru quelques centaines de mètres, nous nous arrêtons en ^pleine forêt. nous apercevons d la fumée. l’ennemi a mis le feu à la ferme et la vieille grange qui nous avait abrités durant la nuit. nous resterons là en pleine forêt deux jours et deux nuits, sans presque rien manger, couchant à même le sol. Nous apprîmes le triste sort de nos camarades massacrés par l’ennemi. Certains des nôtres retournèrent sur les lieux du combat et ramenèrent certains objets abandonnés par l’ennemi, boîte de pansements, ceinturons et même baïonnettes et bottes. Quant à nous, nous nous attendions à un deuxième combat, nous doutant bien qu’à son retour de Corrèze, l’ennemi allait reprendre les routes détournées et éviter le pont du fraisse. Quelques jours plus tard nous enterrions nos morts dans le petit cimetière de St- Julien-Puy-Lavèze devant toute la population rassemblée. Quant au jeune Spako, son corps fut inhumé au cimetière de Messeix. Un autre combattant tué a été aussi honoré. La plaque du square de la jeune résistance à Clermont porte son nom parmi trois autres jeunes tués au combat. Quelques jours plus tard, c’est la Libération et l’entrée dans Clermont libéré. Mais la guerre continuait. Bon nombre de prisonniers étaient encore en captivité et les déportés continuaient à mourir chaque jour dans les camps de la mort. Nous avions été volontaires pour le maquis, Nous ne pouvions pas abandonner la lutte. La plupart d’entre nous qui avions combattu au Pont-du-Fraisse, rejoignirent la 1ère Armée Française qui débarquée en Provence, remontait la vallée du Rhône et combattit jusqu’au cœur de l’Allemagne nazie enfin vaincue Parentignat- Août 1981 Louis JUILLARD

 

1982: 403 habitants la dépopulation s’est poursuivie

 

Desserte chemin de fer Gare de Laqueuille.

La ligne d’ Eygurande – Merlines à Clermont-Ferrand est une ligne de chemin de fer française qui relie la gare d’ Eygurande – Merlines dans le département de la Corrèze à celle de Clermont-Ferrand dans le département du Puy-de-Dôme. Cette ligne a été concédée à la Compagnie de Clermont à Tulle le 19 juin 1868. À la suite de difficultés financières, cette compagnie ne put achever les travaux et c’est l’état qui acheva la ligne à partir de 1877 pour l’ouvrir à l’exploitation le 6 juin 1881. Elle fut ensuite rétrocédée à la Compagnie d’Orléans par les conventions de 1883. si la ligne ferroviaire traversant la commune apparait sur les cartes de 1890 la gare de Laqueuille apparait sur une carte de 1921 avec la desserte du Mont Dore.

Elle est également l’origine de la ligne de Laqueuille au Mont-Dore. Après avoir quitté la gare d’  Eygurande – Merlines, ancienne bifurcation importante, la ligne descend vers la vallée du Chavanon. Gare de bifurcation, elle est située au point kilométrique 442,7191 Elle remonte ensuite la vallée de la Clidane et parvient à la gare de Laqueuille, point culminant à 942 m d’altitude et origine d’un embranchement vers la gare du Mont-Dore. Elle rejoint ensuite la vallée de la Miouze, puis celle de la Sioule pour arriver en gare de Pontgibaud. Elle continue à s’élever le long des contreforts des puys pour desservir la gare de Volvic avant d’entamer une longue descente en pente de 25 ‰ pour entrer dans la gare de Clermont-Ferrand où elle rejoint l’artère de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes.

C’est autour de cette gare que c’est développé le bourg de la Gare.

 

De 1910 à 1946, la section de Laqueuille à Eygurande – Merlines a été équipée d’une deuxième voie pour favoriser les circulations en provenance de Paris via Montluçon vers Le Mont-Dore

Elle est aujourd’hui desservie par des trains Inter cités qui relient Bordeaux-Saint-Jean à Clermont-Ferrand. par les trains TER Limousin et TER Auvergne (relations de Clermont-Ferrand à Limoges-Bénédictins, à Brive-la-Gaillarde et au Mont-Dore). De 1910 à 1946, la section de Laqueuille à Eygurande – Merlines a été équipée d’une deuxième voie pour favoriser les circulations en provenance de Paris via Montluçon vers Le Mont-Dore.

Quelques maires de St-Julien-Puy-Lavèze(recherche en cours)

21ème siècle

31 01 2012 décès du maire Daniel BELLAIGUE 30 03 2012 élection de Yves CLAMADIEU

Les bâtiments de la commune (recherche en cours)

  • l’église
  • la source
  • les croix
  • les fontaines

Club de l’amitié

le club de l’amitié est né en 1982 et fête en 2012 ses trente ans. Ce club regroupe les anciens de la commune qui, tout au long de l’année, organisent des soirées musette

  • le bal de printemps
  • le bal d’automne
  • avec des orchestres réputés dans la région

    -Le fameux repas de la poule au pot si chère à henry IV dans le mois de novembre

-le banquet des anniversaires

-un voyage par an

et ou

-une sortie culturelle

Quelques mots pour qualifier ce club

  • AMITIÉ ( bien sur)
  • JOIE DE VIVRE
  • JEUNESSE
  • N’hésitez plus, si vous aimez danser, voyager,si vous aimez les bon petits plats, bref si vous aimez vous amuser et profiter de la vie rejoignez le club de l’amitié
  • contacts

Présidente

  • Lucette ROUDET 0473220515

vice présidente

  • Marie Noëlle GENDRAUD

secrétaire

  • Gisèle BASCOULERGUE

trésorière

  • Marie France BASCOULERGUE

trésorière adjointe

  • Suzanne GATIGNOL

Association des anciens combattants

Depuis 1990 section communale
Président Jean Claude MANRY
Vice président Roger GUITTARD
Secrétaire Marcel BOYER
Trésorier Noël MOUTY

Porte drapeau
contact : 0473220306

hommage aux enfants de St Julien Puy Lavèze morts pour la France guerre de 14/18

“ils furent 32 à partir en chantant, la fleur au fusil mais n’ont jamais revu le clocher de leur village”

BRUN Léopold Né à la roche blanche le 13 février 1891.Il était le fils de Michel BRUN et de Clémence MEZET son épouse..Mobilisé au 17ème régiment d’infanterie il fut tué à Mont Donon( Alsace) le 21 Août 1914. Il habitait au village de La Vezolle Il était l’oncle de Guy BRUN

GASTEAU J Antoine né le 25 mai 1892 à Briffons, mobilisé au 105ème régiment.Il était le fils de François GASTEAU et de Françoise TARDIF.Il est décédé à Bibershirich le 20 Août 1914 par suite de blessures il habitait le village de Puy Lavèze. Il était l’oncle maternel de Jeanine et Antoine TARTRY
COURTADON Philippe né le 3 mars 1885 à Puy Lavèze. Il était le Fils de Annet COURTADON et de Marie JALLAT. soldat au 16ème régiment d’infanterie est décédé le 22 septembre 1914 à neuf heures du matin à Doncières (Vosges). Il était célibataire
MONTEIX François né le 20 juillet 1889 à Saint Julien Puy Lavèze. il était le fils de Étienne MONTEIX et Magdeleine TARDIF. Il était le frère de Antoine MONTEIX de la Loubière, ancien maire de St Julien Puy Lavèze.
CREGUT Jean né à la Chauderie commune de la tour d’Auvergne le 15 novembre 1874. il était le fils de Léopold CREGUT, meunier, et de Antoinette PELISSIER. marié à saint Julien Puy Lavèze le 8 juillet 1905 avec Anne PERRY. Il habitait au pont de La Vezolle FILLIAS Eugène né le 18 juillet 1877 à Giat( canton de Pontaumur). Soldat au (peut être 93ème ou 137ème ?) régiment d’infanterie il est décédé à Fontenoy (Aisne) le 25 novembre 1914 des suites de blessures. il était le fils de Jean François FILLIAS et de Marie BOURDIER
COURTEIX Antonin Né le 12 novembre 1882 à Puy Lavèze. Il était le fils de Pierre COURTEIX et de Anne LEDIEU. Marié à Chamalières avec BANY Marie le 16 juin 1910. Il était l’oncle de Pierre COURTEIX de Puy Lavèze
BALLET Jean né le 15 novembre 1893 à Feix. il était le fils de Antoine BALLET et de Françoise COURTEIX. soldat au 152ème régiment d’infanterie il est décédé le 7 février 1915 à l’hôpital auxiliaire de Thillot des suites de maladie contractée dans les tranchées en Alsace(Fièvre). Il était célibataire. Il était le frère de Marie SOUCHAL, mère de Raymond, André et Armand SOUCHAL
PLANAT François né le 18 avril 1892 à Saint Julien Puy Lavèze. il était le fils de Jean Baptiste PLANAT et de Mme BRUT. Soldat au 4ème régiment d’infanterie son décès est arrivé au ravin des Meurissons (Meuse) le 15-16 Février 1915. Il était le frère de PLANAT Antoine lui même tué à la guerre. Il était un grand oncle à René Brut et Yvette TINET. Il était célibataire .


ravin des meurissons ou “ravin des cuisines

JALICON Gervais né le 12 novembre 1879 à Les Pourneyroux, maison dépendante du village de Combas commune de Briffons. Il était le fils de François JALICON et de Marie VERDIER. Marié à Julie DESCŒUR de Bajouve le 26 septembre 1901 à Saint Julien Puy Lavèze. Soldat au 20ème régiment territorial d’infanterie il est décédé à l’hôpital temporaire N°21 à Montluçon des suite de blessures de guerre. Il était père de trois enfants. Il était le Grand père paternel des familles JALICON de Bajouve et de Feix
PRUGNE Joseph né à Saint Julien Puy Lavèze le 29 février 1892. Il était le fils de François PRUGNE et de Jeanne MONTEIX. Soldat au 175ème régiment d’infanterie il est décédé à Sedth Ul Bahr presqu’île de Gallipoli le 28 avril 1915( Galiipoli : péninsule dominant Dardanette Turquie. objectif de l’expédition alliée de 1915 ). Il était célibataire. Il était l’oncle de Claude PRUGNE de Pierrefite.

SAULAGNAT Henri né le 28 septembre 1894 à Saint Julien Puy Lavèze. Il était le fils de Barthélémy SAULAGNAT et de BATTUT Anne. Soldat chasseur au 14ème bataillon il est décédé à Lingetroff (Alsace) le 9 septembre 1915 à 22 heures. Il était l’oncle de Henri SAULAGNAT de Feix
SOUCHAL Pierre né à Feix le 4 avril 1884. Il était le fils de Joseph SOUCHAL et de Anne PLANCHAT.
VEYSSET Jean né à la Nugère commune de Briffons le 7 février 1890. Fils de Michel VEYSSET et de Mélanie Marguerite DUMAS. Marié le 17 février 1912 à Saint Julien Puy Lavèze avec Anne GAUMET. Il habitait à La Vezolle.
FAURE Pardoux né à Saint Julien Puy Lavèze le 3 février 1882. Il était le fils de Jean FAURE et de Marie GOY. marié avec Marguerite MAZUEL le 4 novembre 1908 à Saint Julien Puy Lavèze. Il est décédé à Riom le 10 mars 1916 des suites de blessures de guerre
MAILHOT Louis Albert Louis est né le 8 février 1896 à Basville canton de Croq (Creuse). Il était le fils de Michel MAILHOT et de Marie DESCHAMP, domiciliés à Saint Julien Puy Lavèze. Soldat au 22ème bataillon de chasseurs alpins, il est décédé au camp de Wettateim (Alsace) le 3 avril 1916 par suite de blessures de guerre. il était âgé de 21 ans. il est inhumé au cimetière nord de Wettateim, dans la tombe N°26
FAURE Joseph né le 24 septembre 1890 à Saint Julien Puy Lavèze. Il était le fils de Jean FAURE et de Marie GOY. Caporal au 321ème régiment d’infanterie tué à l’ennemi le 15 décembre 1916 à Bezonveaux (Meuse) nombreuses citations ainsi qu’un hommage de la nation signé du président R POINCARE

CHANSEAUME Baptiste né à Feix le 10 juillet 1888. Il était le fils de François CHANSEAUME et de Françoise BOUCHON. Il était le frère de Eugène CHANSEAUME de St Julien. il était l’oncle de Roger, Georges et Zezette CHANSEAUME
BASCOULERGUE Émile né à La Loubière le 26 juillet 1883. Il était le fils de François BASCOULERGUE et de Antoinette FARGEIX. Il était le grand oncle de Guy et Henri BASCOULERGUE et Véronique ARTIGES.
GENDRAUD Auguste né en 1880 il était le fils de feu Simon GENDRAUD et de Annette RIBBES. Il était l’époux de Anaïs RIBBES. Soldat au 105ème régiment d’infanterie il est décédé à Récicourt (Meuse) le 31 Août 1917. Il a est inhumé au cimetière de Récicourt puis au cimetière de Saint Julien Puy Lavèze
MAZUEL Jean Michel né le 2 avril 1881 à Saint Julien Puy Lavèze il était le fils de Jacques MAZUEL et Anne BATTUT. Soldat au 225ème régiment d’infanteriemaritime du syndicat de Marseille il est décédé au lieu dit “bois de chaume” (à l’ouest de Ornes Meuse) le 21 octobre 1917. inhumé au cimetière militaire Marceau Sous Verdun fosse N°171 tombe N°88
MARTIN Jean né à Saint Julien Puy Lavèze le 16 mai 1889. Il était le fils de Louis MARTIN et de Marie JALLAT. Sergent au 151ème régiment d’infanterie il est décédé à Müunchelberg à l’hôpital au camp de prisonniers de guerre le 21 juin 1918 ces renseignements proviennent de la traduction d’un acte de décès établi en langue allemande déposé aux archives de la guerre. Jean était instituteur, il était le frère de Pierre MARTIN également tué à la guerre de 1914- 1918. Il était célibataire. leur mère, en hommage pour se deux fils morts pour la France, a offert le vitrail représentant saint Martin au fond de notre église
MARTIN Pierre né à Saint Julien Puy Lavèze le(1897 ?). Il était le fils de Louis MARTIN et de Marie JALLAT. Il était le frère de Jean MARTIN instituteur, également tué à la guerre. Il habitait à Puy Lavèze. Leur maison fût vendue à leurs cousins, la famille VRAY. leur mère en hommage pour se deux fils morts pour la France a offert le vitrail représentant saint Martin au fond de notre église
PLANAT Antoine né le 22 juillet 1890 à Saint Julien Puy Lavèze. Il était le fils de Jean Baptiste PLANAT et de feu Anne BRUT. Soldat au 217ème régiment d’infanterie décédé en avant de Thursy (Marne) le 18 juillet 1918 tué par un éclat d’obus. il était le frère de François PLANAT également mort pour la France.
MABRUT Léger né le 17 février1895 à Saint Julien Puy Lavèze. Il était le fils de Michel MABRUT et de Marie TAILHARDAT. Soldat au 54ème bataillon de chasseurs alpinsest décédé à l’hôpital d’évacuation le 22 juillet 1918 des suites de ses blessures de guerre. Il était le grand oncle de Jeannette MABRUT.
CHAPUT Jean né en 1889 à Saint Sulpice canton de bourg Lastic. Il était le fils de Georges CHAPUT et de Françoise PAUL. Sergent au 87ème régiment d’infanterie est décédé sur le territoire de Livry (Ardennes) le 4 octobre 1918 .
PERSIGNAT François né le 3 août 1880 à Feix. Il était le fils de Jean Marie PERSIGNAT et de Marie MILLIROUX. Il habitait le village de Feix. Il était le grand père de Claude et François JALICON de Feix
AUBERT Francisque Aucun renseignement sur Francisque. Il était le beau frère de Léger MABRUT marié avec Marie MABRUT de Feix (serait né au cendre)
PERRY Jean né le 26 décembre 1870 à Bajouve il était le fils de Jean PERRY et Suzanne PRUGNE
DEBAL Jean né le 20 octobre 1890 à Pierrefite. Il était le fils de Antoine DEBAL et de Anne BOUCHAUDY. Il habitait le village de Pierrefite. il était marié et père de Raymond DEBAL.. Grand oncle de Alain BATTUT de Pierrefite. Blessé le 20 octobre 1917 par éclat d’obus, cité à l’ordre du régiment de la 1ere division d’infanterie, décoré de la croix de guerre. décédé le 24 avril 1921 des suites des blessures.
FAURE Jean né le 22 novembre 1902 à Saint Julien Puy Lavèze. Il était le fils de Michel FAURE et de Marie Marguerite BONY. Soldat canonnier est décédé à El Mers (Maroc) le 24 juin 1923 sur le champ de bataille.
Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. entre les plus beaux noms, leur nom est le plus beau toute gloire auprès d’eux passe et tombe, éphémère et comme ferait une mère la voix d’un peuple entier les berce en leur tombeau

Victor HUGO
– Quelques témoignages de nos anciens qui ont connu cette guerre


lettre de Louis TARTRY, adressée à ces parents et à son frère Alexandre


site national

Le site officiel du ministère de la Défense. Retrouvez tous les grands organismes du ministère de la Défense et les grandes thématiques.
http://www.defense.gouv.fr/

8 mai 2013 au bourg de st julien puy lavèze


Isabelle et Gérard MANRY

Hébergements, Gites.

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Vos compagnons à 4 pattes sont les bienvenus moyennant un supplément.

 

Piste ULM à proximité (possibilité baptêmes)

*Isabelle et Gérard MANRY

Feix – 63820 SAINT JULIEN PUY LAVEZE

Tel : 04.73.22.02.90 / 06.82.50.50.68

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Société laitière de Laqueuille

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Contact: 06 88 81 54 14

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TER-SNCF